Comment choisir un partenaire de croissance à la performance (sans se faire avoir)

Tu as compris qu’un partenaire de croissance peut t’aider à scaler ton chiffre d’affaires.
Très bien.
Maintenant, vraie question : comment tu choisis le bon ?

Cette page te sert de grille de lecture.
Tu peux littéralement t’en servir comme check-list avant de dire “oui” à quelqu’un.

1. Vérifier que c’est vraiment un partenaire de croissance (et pas juste une agence rebrandée)

Aujourd’hui, tout le monde se rebaptise “partenaire de croissance”.

Mais concrètement, un vrai partenaire de croissance :

  • parle de chiffre d’affaires, pas seulement de visibilité

  • prend en charge marketing + vente, pas juste les pubs ou le contenu

  • pense en système complet, pas en “action isolée”

  • s’implique dans les résultats, pas seulement dans les livrables

Une question simple à poser :

“Si on arrête de travailler ensemble dans 6 mois, qu’est-ce qui reste concrètement dans mon business ?”

La bonne réponse ressemble à :

“Un écosystème structuré : des tunnels, des séquences, des scripts, des systèmes de tracking, et une stratégie claire.”

Chez Upflow360, par exemple, on se présente comme partenaire de croissance à la performance :
on gère tout le cycle d’acquisition client, marketing + ventes, et on vise une croissance mesurable du CA.

2. Comprendre comment il est rémunéré (et sur quoi exactement)

Le cœur d’un modèle à la performance, c’est la rémunération.

Tu dois savoir :

  • sur quelle base il est payé (CA brut, CA net, marge, autre…)

  • sur quelles ventes s’applique le pourcentage

  • si ce pourcentage évolue selon les paliers de CA

  • s’il y a des frais fixes en plus, et lesquels

Questions à poser telles quelles :

  • “Vous prenez un pourcentage de quoi exactement ?”

  • “Ce pourcentage s’applique sur quelles offres ?”

  • “Est-ce qu’il y a d’autres frais fixes à prévoir ?”

Un modèle sain, c’est :

  • un pourcentage clair du chiffre d’affaires brut sur un périmètre défini

  • expliqué simplement, sans zone grise

C’est le cas chez Upflow360 :
on se rémunère principalement via un pourcentage du CA brut généré sur les offres sur lesquelles on intervient, parfois complété par un setup au démarrage.

3. Clarifier qui fait quoi : responsabilités côté client / côté partenaire

Si ce n’est pas clair au départ, ça deviendra un conflit plus tard.

Un bon partenaire de croissance doit être capable de te dire :

  • ce que toi tu gardes

  • ce que lui prend en charge

  • ce qui est co-responsable

En général :

Tu gardes :

  • ton expertise

  • ton contenu brut (vidéos, lives, interventions, témoignages…)

  • la livraison de ton offre à tes clients

  • ton image de marque

Le partenaire de croissance prend en charge :

  • la stratégie marketing & commerciale

  • l’architecture de ton écosystème de croissance

  • la mise en place et l’optimisation des tunnels, pubs, emails, process de vente

  • le pilotage des KPI et les décisions d’optimisation

Questions à poser :

  • “Quelles sont vos responsabilités exactes dans le projet ?”

  • “Qu’est-ce que vous attendez de moi chaque semaine / chaque mois ?”

  • “Qu’est-ce que vous ne faites pas du tout ?”

Chez Upflow360, par exemple, on demande au client :
du contenu brut, de la réactivité, de la transparence sur les chiffres.
En échange, on prend la main sur la machine de croissance.

4. Vérifier qu’il sait dire “non”

C’est un des meilleurs signes de sérieux.

Un partenaire de croissance qui accepte tout le monde n’est pas un partenaire, c’est un prestataire qui remplit son planning.

Questions à poser :

  • “Avec quels profils vous refusez de travailler ?”

  • “Quels sont vos critères minimum pour dire oui à un projet ?”

  • “Dans quels cas vous mettez fin à une collaboration ?”

Les réponses doivent être assumées, par exemple :

  • refus des fake experts

  • refus des offres non validées

  • refus des profils qui ne veulent pas se remettre en question

Upflow360, par exemple, ne travaille pas :

  • avec des offres jamais vendues

  • avec des promesses miracles

  • avec des profils uniquement motivés par l’argent rapide

Si ton interlocuteur n’a aucun critère de refus, c’est mauvais signe.

5. Regarder s’il pense “écosystème”, pas “tunnel magique”

Un bon partenaire de croissance réfléchit en écosystème :

  • offre

  • positionnement

  • contenu

  • pubs

  • tunnel

  • emails

  • sales

  • data

Tout est lié.

Mauvais signe :

  • “On va te faire UN tunnel qui marche pour tout le monde.”

  • “On va juste te poser des ads sur ton offre actuelle, ça ira.”

Bon signe :

  • il te parle de parcours client, de points de contact, de séquences, de cohérence globale

Questions à poser :

  • “Comment vous voyez l’articulation entre mon contenu, mes pubs, mon tunnel et mes ventes ?”

  • “Si les résultats baissent, comment vous identifiez ce qui bloque ?”

Chez Upflow360, on parle d’écosystème de croissance :
un système vivant où chaque levier alimente les autres.

6. Regarder son rapport aux chiffres

Si tu parles de croissance, tu parles de chiffres.

Un partenaire de croissance sérieux :

  • sait te dire quels KPI il va suivre

  • différencie les indicateurs de vanité (vues, likes…) des indicateurs business (CA, coûts, conversions…)

  • prend des décisions en fonction des chiffres, pas d’intuitions vagues

Questions à poser :

  • “Quels indicateurs vous suivez en priorité ?”

  • “Si une campagne ne fonctionne pas, comment vous analysez ça ?”

  • “À quelle fréquence on fait le point sur les chiffres ?”

Chez Upflow360, on structure le pilotage autour de quelques KPI clés :

  • coût d’acquisition

  • taux de conversion à chaque étape (opt-in, booking, show, closing)

  • panier moyen

  • chiffre d’affaires généré par offre / canal

7. Tester le fit humain (hyper sous-estimé)

Tu peux avoir le meilleur système du monde…
si tu ne supportes pas de parler à la personne en face, ça ne tiendra pas.

Un partenaire de croissance, tu ne le vois pas comme :

  • “un exécutant”

  • “un prestataire de plus à gérer”

Tu le vois comme :

  • un co-pilote

  • un brain externe

  • quelqu’un à qui tu peux dire “là je ne sais plus quoi faire, on fait quoi ?”

Questions à te poser à toi-même après l’appel :

  • “Est-ce que je me vois bosser avec eux pendant 12 mois ?”

  • “Est-ce que je me sens respecté, écouté, challengé intelligemment ?”

  • “Est-ce qu’ils m’infantilisent ou est-ce qu’on se parle d’égal à égal ?”

Chez Upflow360, l’objectif est clair :
être des partenaires de croissance avec qui tu as envie de prendre un café et parler business, pas des gourous perchés ou des vendeurs de rêve.

8. Check-list de questions à poser avant de t’engager

Tu peux copier-coller ça pour ton prochain call :

  1. “En une phrase simple, comment vous décrivez votre métier ?”

  2. “Sur quoi êtes-vous rémunérés exactement ?”

  3. “Sur quels types de projets vous refusez de travailler ?”

  4. “Qu’est-ce que vous attendez de moi si on bosse ensemble ?”

  5. “Quels KPI on va suivre en priorité ?”

  6. “À quoi ressemble un bon scénario à 6 mois ? Et un mauvais ?”

  7. “Si on se rend compte que ça ne fonctionne pas, comment ça se passe ?”

Les bonnes réponses seront :

  • claires

  • directes

  • assumées

Si tu sors de l’appel avec plus de flou qu’en entrant, c’est mauvais signe.

9. Où se situe Upflow360 dans tout ça ?

Pour que ce soit explicite :

  • Upflow360 est un partenaire de croissance

  • on gère marketing + vente dans un même système

  • on construit et pilote des écosystèmes de croissance

  • on se rémunère à la performance, via un pourcentage du chiffre d’affaires brut généré

  • on travaille avec des offres déjà validées, à fort potentiel, sur le marché francophone

Si tu appliques cette grille à ton projet et que tu te dis :

“Ok, c’est exactement ce que je cherche”,

alors on aura déjà fait 80 % du chemin avant même le premier appel.